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Mûrir ou Mourir - Cantin Mbe Fongang

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🎯 𝗟𝗲 𝗣𝗹𝘂𝘀 𝗚𝗿𝗼𝘀 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁 𝗗𝗲 𝗠𝗮 𝗩𝗶𝗲
 
Bonjour, je suis Cantin Mbe, Étudiant en Médecine peut-être par ACCIDENT 🥺🥺
 
Tu Veux Savoir Pourquoi ?
 
Il y a de cela 3 ans, j'étais en classe de 1ère dans la capitale politique du Cameroun, notamment Yaoundé. L'une des villes les plus animées, les plus mouvementées et les plus fournies en terme d'infrastructures splendides de mon beau pays. 
 
Venant initialement du Nord Cameroun (Garoua), ville où j'avais fait 7 ans, cela dû à l'affectation de mes parents dans leurs différents métiers, c'est à Yaoundé que j'ai déposé les bagages pour passer tout mon cursus secondaire, ceci en habitant chez ma grande sœur.
 
De la classe de 6e jusqu'au 2e cycle, j'avais tissé une passion pour la musique qui ne faisait que se développer et je dirais même s'aggraver parce qu'il m'arrivait de rentrer des cours aller dans des studios de radio pour prester, aller à des événements ou aller au studio d'enregistrement pour produire des musiques. À la maison dans pratiquement chacun de mes cahiers de révision il y avait au moins 10 textes de rap.
 
J'ai pu produire des titres qui sont disponible jusqu'à ce jour sur ma chaîne Youtube, produire des clips vidéos et peu à peu j'ai tissé une certaine notoriété qui m'a fait vivre sur des nuages jusqu'à ce que mes échecs scolaires ou alors mes notes qui devenaient de plus en plus mauvaises ne m'affectaient plus, parce que à force de vivre ma passion je ne ressentais plus le coup de mon éducation.
 
Cela a conduit à mon échec à l'examen de probation durant cette même année. Alors que la nouvelle année tendait à commencer, j'ai décidé de me mettre au pas, j'ai convaincu ma grande sœur et mon tuteur de me donner une seconde chance de refaire la classe de 1re et ceci avec beaucoup plus de concentration. 
 
Mais au fond, c'était juste un moyen de les manipuler car je suspectais qu'on allait chercher à me faire changer de ville alors j'ai trouvé tous les motifs pour les convaincre de me laisser rester à la capitale parce que je n'avais pas encore fini de prouver dans la musique.
 
C'est comme ça que ceux-ci acceptent et décident de me réinscrire dans le collège où je fréquentais. Lundi je suis allé au cours, mardi je suis allé au cours, mercredi à mon retour des cours j'ai reçu un Voice qui a changé le cours de ma vie. Il s'agissait d'une note vocale de ma mère qui disait exactement ceci :
 
<<𝗔𝗻𝗴𝗲, 𝘁𝘂 𝗻'𝗲𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝘂𝗻 𝗴𝗮𝗿ç𝗼𝗻 têtu 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗷'𝗮𝗶 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱é𝗳𝗲𝗻𝗱𝘂 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗽𝗿𝗶𝗼𝗿𝗶𝘁é 𝗽𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗶. Ç𝗮 𝘁'𝗮 𝗺𝗲𝗻é 𝗼ù ? À 𝗹'é𝗰𝗵𝗲𝗰 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗮𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 ! 𝗗𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗻'𝗮𝘃𝗮𝗶𝘁 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 é𝗰𝗵𝗼𝘂é 𝗰𝗲𝘁 𝗲𝘅𝗮𝗺𝗲𝗻, 𝘁𝗼𝗶 𝗻𝗼𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝘂 𝗻'𝗮𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗻𝘂 𝗹'é𝗰𝗵𝗲𝗰 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝘀𝘀é 𝘁𝘂 𝗮𝘀 𝗱'𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗳𝗿é𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁é 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘁𝗶𝗴𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲s é𝗰𝗼𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗼𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗖𝗵𝗮𝗻𝘁𝗮𝗹 𝗕𝗶𝘆𝗮. 𝗝𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗮 𝗺è𝗿𝗲 (ma sœur) 𝗮 𝗮𝗰𝗰𝗲𝗽𝘁é 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝘀 𝗹à-𝗯𝗮𝘀 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗺𝗼𝗶 𝗷𝗲 𝗱é𝗰𝗶𝗱𝗲 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : 𝗮𝗿𝗿𝗮𝗻𝗴𝗲 𝘁𝗲𝘀 𝗮𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗯𝘂𝘀 𝗱𝗲 ''𝗴é𝗻é𝗿𝗮𝗹'' 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 𝘁𝗿è𝘀 𝘁ô𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗮𝘁𝗶𝗻 𝗷𝗲 𝘁'𝗶𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝘀 𝗮𝘂 𝗹𝘆𝗰é𝗲 𝗱𝗲 𝗞𝗼𝗮𝗯𝗮𝗻𝗴 𝗜𝗜𝗜. 𝗝𝗲 𝗻𝗲 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗻é𝗴𝗼𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘁𝗼𝗶 𝗼𝘂 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘁𝗮 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝘀œ𝘂𝗿, 𝗷𝗲 𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗱'𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝘁𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗱é𝗽ô𝘁 𝗢𝗠 𝗱𝗼𝗻𝗰 𝗽𝗮𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗿𝗴𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘃𝗼𝘆𝗮𝗴𝗲𝗿. 𝗷𝗲 𝘁'𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝘀, à 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻.>>
 
Face à ce message, je ne pourrai décrire exactement ce que j'ai ressenti à l'époque. Il y avait une sorte de tristesse, un sentiment de révolte, l'impression d'entrer dans une nouvelle vie où je ne contrôlais plus rien. Il s'agissait de rentrer en quelque sorte dans mon petit village Bamougoum, situé à l'Ouest du Cameroun. Depuis ma naissance, je n'avais jamais fait plus d'un mois à l'Ouest, j'étais soit chez mes sœurs de part et d'autre du pays, ou alors chez mes parents au Nord, c'est d'ailleurs là-bas que j'ai appris la langue locale la plus répandue (Fulfuldé). 
 
Il s'agissait donc d'une virée particulière car c'était pour passer au-moins 2 ans, le temps d'avoir le probatoire et le baccalauréat.
 
Dans ma posture de perdant, je ne pouvais prendre les devants pour contredire ma mère, je ne pouvais que subir ce qui se passait de toute façon pour éviter ça il me suffisait de réussir mon examen or, ça n'a pas été le cas.
 
J'ai donc pris le bus pour Bafoussam, laissant derrière mon passé de jeune mon passé de celui-là qui entrée dans l'âge de l'émancipation, cet âge où l'on a envie de connaître un peu plus la vie en abordant les personnes, mauvaises comme bonnes, en courtisant notamment le sexe opposé et en découvrant de manière beaucoup plus approfondie ce qu'est la relation humaine... 
 
Je quittai la ville de la lumière, la ville des grosses infrastructures des building et de tout ce qui peut vendre le rêve à tout potentiel villageois voulant rejoindre la zone urbaine.
 
Le lendemain je suis donc arrivé à Bafoussam avec mes bagages comme prévu, lorsque j'arrive au village je remarque que ma mère avait déjà tout préparé depuis le début de la semaine : toutes mes fournitures jusqu'au livre d'éducation physique et sportive étaient sur la table dans ma future chambre ainsi que ma tenue de classe cousue par elle-même (il m'a fallu un peu plus d'une heure de temps pour la supplier de diminuer un peu le pantalon vu la grosseur).
 
De suite, mon père et elle ont démarré la voiture, direction ce qui allait être mon futur plateau du savoir : le Lycée de Koabang III.
 
Il m'ont présenté au Proviseur, Mme Kankeu Hélène qui elle à son tour m'a présenté le système éducatif de son établissement et ainsi que la rigueur qui s'y trouve.
 
Dès ce même jeudi de classe, j'étais déjà en tenue d'élève régulier de ce lycée et en salle pour rattraper les cours que j'ai manqués depuis lundi. A mon retour, sur le chemin, il y avait à ma gauche un champ de maïs est à ma droite de la broussaille qui attendait d'être défrichée ou brûlée au feu de brousse pour y faire un champ aussi.
 
 Me souvenant qu'auparavant ma gauche et ma droite c'était de jolies infrastructures dignes d'une Métropole.
 
 Je commençais à accepter peu à peu que quelque chose a bousculé l'ordre que j'avais établi de ma vie de jeune. 
 
😣L'échec fait mal !
 
À la maison, mes parents se sont concertés avec moi pour réellement faire le point sur la situation : selon eux, il y avait un marché à faire, puisque je me sentais frustrée de revenir loin au village ils ont proposé comme échange, mon baccalauréat dans les 2 prochaines années (pour eux) et le retour en ville (pour moi) : 
 
C'était ça le Contrat!
 
Pour eux, il fallait que je me batte durant l'année qui s'y déroulait, ainsi que l'année suivante pour décrocher mon examen de probatoire et de baccalauréat et par la suite il allaient me permettre de rentrer à la capitale et continuer mes études tout en me donnant la permission de faire la musique.
 
Alors ce fut deux années où ils ne me laissaient même pas la possibilité de faire le ménage car ils ne voulaient en aucun cas que je prévoies des motifs pour prévenir un potentiel échec à l'avenir soit disant que c'est parce que je ''lavais les assiettes'' ou alors je ''balayais le sol'' que j'ai échoué.
 
 Ils évitaient que je fasse autre chose que les études. J'ai ainsi passé deux années intenses de préparation à mes deux examens. Je ne pouvais plus aller en studio, je ne pouvais plus traîner avec les amis, je ne pouvais que aller à l'école et rentrer à la maison il n'y avait pas de studio, il n'y avait pas de fête. 
 
Il y avait juste le bruit des insectes nocturnes la nuit et le son des machines qui écrasaient le couscous le jour.
 
Durant ces 2 années, je me suis mis à écrit un livre qui raconter mon quotidien sur le plan émotionnel , académique et social (Nafissatou Tome 1). 
 
Ne pouvant plus sortie , je me suis mis à suivre beaucoup de plateformes éducatives où chaque jour il y avait du contenu pertinent et presque ''envoutant'' (@Start UP Academy, @Dr Claudel Noubissie, @Argenlivre, @Philipe Simo @Ulrich Nguegang etc). Le contenu parlait d'un domaine appelé entrepreneuriat.
Ce domaine qui à l'époque me semblait concerner uniquement ceux qui font des constructions (Génie-civil...). 
 
Leurs différents contenus m'a donné l'ampleur de ce ''Grand'' Mot, ses bienfaits et la nécessité de passer à l'action.
 
Par moments j'animais mes parents avec ces sujets, mais même lorsqu'ils reconnaissaient l'objectivité de ces sujets, ils me recommandaient quand même de me concentrer sur mes cahiers et attendre d'avoir le baccalauréat.
 
Alors, dans ma chambre je me forgeais à travers des formations et je rédigeais déjà de potentiels futurs projets d'après Bacc, grâce à ces personnes, ce n'est plus la musique seule qui m'animait, j'étais passionné désormais de L'ENTREPRENEURIAT.
 
 Je profite pour remercier Mon Mentor Valère Belias (Promoteur de ArgenLivre) avec qui je causais plus de 3h par appel chaque semaine sur des sujets relatifs à L'entrepreneuriat et les études.
 
Cette rage d'élève ''renfermé'' m'a donné une pression et motivation optimale de réussir à mes 2 examens le plus vite possible et voici ce qui a suivi :
 
✨En 2018/2019
 
🎯Je suis premier de ma classe durant toute l'année jusqu'au probatoire blanc (je ne l'avais jamais été au secondaire).
 
🎯Je suis premier au probatoire D dans mon école.
 
🎯Je suis primé : Meilleur Performance au deuxième cycle (2nd en Tle).
 
🎯Je suis primé par le chef Supérieur S.M. Moumbe Fotso M. comme: Meilleur Élève scientifique (Série D) et Élève Exemplaire du lycée.
 
🎯-Plus important : je passe le Probatoire ! 
 
✨En 2019/2020:
 
🎯Je suis nommé Président de la coopérative à l'unanimité
 
🎯Je suis dans le Top 5 des meilleurs élèves des séries C et D.
 
🎯Je suis primé Pair Éducateur, Meilleure scientifique, et Meilleur scientifique s'exprimant en Anglais
 
🎯Je suis membre actif du projet de création du Club paix et multiculturalisme que je préside plus tard et où je partage d'ailleurs les biens culturels que j'ai acquis à force de vivre partout au pays.
 
🎯Je créé une rubrique au sein de notre club journal qui se fait connaître et s'exporte ailleurs avec l'étiquette de notre école.
 
🎯Plus important je passe le baccalauréat
 
"Étudiant en Médecine peut-être par ACCIDENT" pourquoi et bien : 
La famille avait décidé 2 ans avant de me faire rentrer au village, je suis certain que SANS ÇA, JE N'AURAI CERTAINEMENT JAMAIS APPROCHÉ UNE FACULTÉ DE MÉDECINE. peut-être que j'allais être en Terminale à cette heure ci🤣
 
Bref !
✨✨J'ai Rempli Ma Part du Contrat !✨✨
 
La famille décida donc de me faire revenir en métropole, sauf qu'à mon retour, ma mentalité a tellement changé.
 
Je ne ressentais plus l'envie d'aller aux fêtes, je ne voyais plus ça pertinent.
 
Je ne ressentais plus l'envie de marcher avec les amis, du moins certains : je les trouvais pas à mon niveau (intellectuel).
 
Mes centres d'intérêts ne me permettaient plus la vie ''simple'' d'un jeune de mon âge. 
 
C'est comme ça que bien que je sois retourné, je n'étais plus ''dispersé''.
 
J'ai continué à me former, participer à des conférences, présider certaines au point de créer certaines structures.
 
Ktofografic : conception de visuels, réalisation vidéo et formation dans ces domaines.
 
Draworfit Édition : maison d'édition avec pour ligne éditoriale l'entrepreneuriat, l'intelligence financière, l'éducation... La formation et l'encadrement dans l'écriture
 
Draworfit : groupe de networking constitué d'entrepreneurs et d'aspirants à entreprendre où nous donnons des formations tout le temps sur des sujets pertinents de l'entrepreneuriat.
 
Etc
 
Je pense que ce passage de ma vie fut l'un des virages les plus positifs qui soient, ça m'a totalement changé au point où je crois être devenu une autre personne, une Meilleure Personnes ! 
 
Je vais maintenant mieux me présenter : Bonjour, je suis @Cantin Mbe, plus connu sous le nom de Porteur de Rêves Étudiant en Médecine, Musicien, Auteur et Entrepreneur dans les domaines du Digital, la Finance, l'audiovisuel et la Vente.
 
Après avoir pu vivre certains événements, des plus tristes aux plus joyeux, des plus sombres aux plus radieux, j'ai changé ma façon d'être, j'ai suivi une longue séance de reprogrammation mentale et je me suis mis à ENTREPRENDRE. 
 
Dans la bibliothèque de mon ancien lycée, il y a désormais mes ouvrages 🥰
 
Au fur et à mesure je me suis rendu compte que c'est un domaine qui n'intéresse pas trop les gens de ma catégorie, avec des motifs peu importants pour les citer ici.
 
Je me suis rendu compte que la naïveté ou alors l'ignorance peuvent être fatales ! 
 
Bref j'ai fait beaucoup de remarques vives et explicites qui m'ont emmené à rédiger mon 4ème ouvrage qui s'intitule Mûrir ou Mourir.
 
📙𝐌û𝐫𝐢𝐫 𝐨𝐮 𝐌𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫 : Pourquoi cette Rime?
 
Il s'agit de 2 mots pas très distants au point de vue orthographique, mais j'irai plus loin en signifiant que ce titre que j'ai donné de mon prochain livre, Même au sens Propre, connait une liaison.
 
🔔Démonstration : 
 
𝐌û𝐫𝐢𝐫 : Mener (une chose) à point en y appliquant sa réflexion. Se développer, atteindre son plein développement. Devenir mûr, venir à maturité.
 
𝐌𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫 : Cesser de vivre, d'exister, d'être. 
 
Prenons à présent ces 2 Mots et appliquons-y le contexte social :
 
Lorsqu'on nait, on se nourri dans le but d'acquérir en vitamines, nutriments nécessaires à notre croissance. De même, pendant notre processus de croissance, nous nous formons (Éducation par les parents, la famille, l'école et la société) pour acquérir de l'expérience, la maturité et cet ensemble de d'éléments pertinents pour notre vie : c'est l'optique du mot Mûrir.
 
En opposition au paragraphe ci-dessus, la privation de nutriments, d'éducation conduira certainement à une mort subdivisée en 2 :
•Mort au sens propre 
 
ou alors
• Mort Intellectuelle : caractérisée par une inconsistance intellectuelle due au manque d'éducation, de formation reçue : c'est cette branche que mon livre intitulé Mûrir ou Mourir Traite.
 
C'est un livre qui déconstruit la perception africaine de l'école et propose des process à l'étudiant pour augmenter ses connaissances et plus concrètement : Passer à L'action.
 
Alors Mûrir ou Mourir c'est faire un choix entre d'éduquer ou périr à cause du refus d'être éclairé.
 
Voilà un extrait de mon histoire
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