Dans sa chronique, Manuel explore avec finesse de Nova Core , dans l’Ombre de Lucifer, le deuxième volet de la saga Éclats d’Éternité de Franck Denizot. Il y dévoile un univers post-apocalyptique où la poésie se mêle à la dystopie, et où l'intelligence artificielle devient le miroir de notre propre humanité.
À un mois de la sortie officielle du roman au Salon du Livre de Parentis-en-Born (14 Juin 2025), cette lecture est une invitation à plonger dans un monde où chaque mot est une étincelle dans la nuit glacée.
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Cher Manuel,
Un simple clic, un échange furtif… et voilà que de ta plume est née une ode bouleversante.
Toi qui lis et chroniques depuis plus de soixante ans les plus grandes plumes du polar et de la fiction, tu m’as offert l’un des plus beaux cadeaux qu’un auteur puisse recevoir : un regard juste, sensible, exigeant et profondément humain.
Ta chronique de Dans l’Ombre de Lucifer ne se contente pas d’éclairer mon roman, elle le transcende. Tu y révèles, avec ta lucidité d’explorateur littéraire, ce fil incandescent entre la glace algorithmique et l’étincelle d’âme qui survit au cœur de l’apocalypse.
Tu as su entendre ce que j’ai murmuré entre les lignes.
Et tu as su, avec l’élégance d’un maître conteur, le transmettre aux lecteurs.
Merci pour cette lumière.
Merci pour cette transmission.
Merci d’exister.
Éternellement,
Franck